|
Dossier dopage |
De nombreuses personnalités se sont élevées contre les premiers contrôles antidopage. Certaines ont changé d'avis, d'autres pas.
Quelques exemples de prises de position contre les contrôles.
En 1967, suite à son record de l'heure, il refuse de se soumettre à un contrôle antidopage. Il renouvellera plusieurs fois cet acte d'insoumission au cours de sa carrière.
A propos des premiers contrôles en Belgique : "Je n'approuve pas les mesures prises en Belgique. Pourtant, je ne craindrais pas, s'il le fallait, de me soumettre à toutes les analyses officielles aussi bien après une arrivée que deux heures plus tard et ma valise n'a pas de secret inavouable."
Source : Le Miroir des Sports n°1073, 03/05/1965, page 4, cité par Jean-Pierre de Mondenard dans Tour de France - 33 vainqueurs face au dopage
En 1982, au Critérium de Callac, accompagné de 4 autres coureurs et soutenu par l'UNCP (Union Nationale des Cyclistes Professionnels), il refuse de se soumettre au contrôle antidopage.
Source : Sprint International n°2984 - octobre 1982
Pour s'expliquer, il déclare : "Je considère les contrôles dans les critériums comme une atteinte à la liberté du travail."
Source : L'Equipe 17/08/1982
"Je suis absolument contre les contrôles préventifs. Nous nous faisons déjà contrôler en course. Pourquoi pas la nuit dans notre lit, pourquoi pas à l'entraînement ? Il ne faut pas exagérer..."
Source : L'Equipe 30-31/07/1988
En 1982, au Critérium de Callac, accompagné de 4 autres coureurs et soutenu par l'UNCP (Union Nationale des Cyclistes Professionnels), il refuse de se soumettre au contrôle antidopage.
Source : Sprint International n°2984 - octobre 1982
Venant de se faire épingler positif au Stimul : "Je ne crois plus aux contrôles. Ce n'est plus du tout valable, cette pratique est devenue ridicule et hypocrite."
Source : L'Equipe, 09/05/1977, cité par Jean-Pierre de Mondenard dans Tour de France - 33 vainqueurs face au dopage
En 1966, le peloton du Tour de France fait grève pour protester contre les contrôles antidopage.